Christophe Cognet
Attentifs aux traces et au travail de la mémoire, ses films interrogent les formes de pouvoir, les mécanismes de la création et la puissance des images. Il mène en particulier une méditation filmique sur l’art et les images aux limites de l’expérience humaine – une réflexion qui s’est accompagnée de la publication d’articles, d’ouvrages et de conférences sur ce thème. Ses films ont été vus dans le monde entier, sur les cinq continents (télévisions, distributions en salles, sélections dans plus de quarante festivals).
Filmographie sélective
« Sept mille années » (fiction, 15 min. 2017, avec Mathieu Amalric et François Lebrun).
« Parce que j’étais peintre » (doc, 1h44, 2014, France Allemagne – sorti en salles dans sept pays)
« Les anneaux du serpent » (essai, 45 min, 2008, Arte)
« Quand nos yeux sont fermés » (doc, 55min, 2005, TV5 Monde)
« L’Atelier de Boris » (doc, 1h36, 2004)
« Les Sentiers de Fred » (doc, 2001, France 2)
« L’affaire Dominici par O. Welles » (doc 52 min, 2000, Cinéclassics, France2)
« Gongonbili, de l’autre côté de la colline » (doc, 63 min, 1997, Canal+ international).
Il est également scénariste, consultant à l’écriture de films, et auteur d’articles sur le cinéma et l’art (revue Vertigo en particulier). Il a été en résidence à l’espace Khiasma, centre d’art contemporain en 2014-2015 (performances à partir d’un texte de Kierkegaard, avec Agathe Bonitzer, Geoffroy Carey et Jérôme Imard).
Il développe un long-métrage documentaire sur les photographies clandestines des camps nazis (production l’Atelier documentaire), ainsi qu’un livre sur ce même thème aux éditons du Seuil. Il développe également un long-métrage de fiction, « Les Attractions », une libre adaptation du livre Le ParK de Bruce Bégout (Seconde vague productions).